samedi 15 avril 2017

Quais du Polar 2017 - Dimanche

Dimanche

Lorsque j'arrive à la gare dimanche matin tout est plutôt désert et j'avoue que c'est assez étrange que d'avancer là-dedans. Je m'aperçois très vite qu'il pleut encore plus que la veille. A moi l'odeur de chien mouillé pour le reste de la journée !


A 10h, dès l'ouverture des portes, le marathon recommence avec l'ambition pour moi de pouvoir voir tous les auteurs que j'ai raté la veille.

Claire Favan

Vivianne Perret

Jacques Saussey

Nicolas Beuglet

Johana Gustawsson

Romain Slocombe

Sébastien Gendron

C'est d'ailleurs avec grand plaisir que je retrouve celui que j'ai dû voir presque à chaque salon depuis la rentrée de septembre :

Olivier Norek

Jacques-Olivier Basco

Alexis Aubenque

Cédric Bannel

Hervé Claude

Il est maintenant l'heure pour moi d'aller manger ! Il faut dire que discuter avec des auteurs mais, en même, avoir des odeurs de frites qui te viennent dans le nez, c'est radical !

Après cette pause bien méritée, direction l'hôtel de ville histoire, quand même, que le salon ne se finisse pas sans que je sois allée y faire un tour.



J'en profite pour y revoir les amis auteurs tels que Gaëlle Perrin.

Gilles Caillot

A 15h30 je décide d'aller profiter de mon "coupe-file" et de me rendre à une conférence sur un sujet particulièrement intrigant et avec des auteurs dont j'apprécie beaucoup le travail : "Les auteurs français qui écrivent sur les Etats-Unis".



Sophie Loubière                                     Bernard Minier


René Manzor                                    Sonja Delzongle

En sortant de la conférence, je profite d'un instant de calme pour prendre une photo plongeante sur le salon, une vue toujours aussi prenante mais que je n'admire pas trop longtemps pour cause de vertige.


Alors que je n'avais pas forcément prévu d'aller acheter son roman, je profite d'une accalmie et du temps restant d'ouverture du salon pour aller voir celle dont le précédant roman me trottait dans la tête depuis l'année dernière et que j'ai finalement décidé d'acheter.

Sonja Delzongle

Il est malheureusement déjà l'heure de partir et c'est non sans un pincement au coeur que je rejoins la gare avec le sentiment d'avoir été prise dans un tourbillon toute la semaine, un tourbillon qui ne m'a pas laisser entrevoir ce salon comme d'ordinaire.


1 commentaire: