Fête de lancement avec Ruberto Sanquer à Paris (20/01/18)

Salut à tous mes lapinoux !

Pour le récit que je vais vous raconter aujourd'hui, il faut remonter un mois en arrière lorsque j'ai pu me rendre au salon de Montreuil. A cette occasion, j'avais rencontré la charmante et talentueuse Ruberto Sanquer à laquelle j'avais acheté son premier roman : L'aura noire.

Le courant était de suite très bien passé et je dois dire que j'ai été toute chose lorsque l'auteure m'a parlé de cette fête de lancement pour son nouvel opus. Aller à Paris, pour moi, ce n'est pas toujours très simple, mais ce moment-là, je ne voulais aucunement le rater.

Sitôt l'invitation en bonne et due forme dans ma boîte mail, je me suis donc précipitée à la gare pour acquérir mon précieux sésame : mon billet de train ! Je n'avais alors plus qu'à attendre le jour J avec la plus vive impatience !

Samedi matin, enfin, le réveil sonne, ça pique. Il faut dire que l'angoissée que je suis était tellement flippée que le dit réveil ne sonne pas que je n'ai pour ainsi dire pas dormi de la nuit. Vive la tête dans le seau !

Le temps d'avaler un rapide petit déj, de vérifier mon sac et c'est parti ! A 6h30, le train démarre, direction Paris !

Il est un peu plus de 10h lorsque j'arrive dans la capitale, sous la pluie. Mais rien ne saurait gâcher mon bonheur d'être là, pas même la galère de trouver la bonne voie de métro ou de me perdre dans toutes ces lignes où les indications sont données pour ceux qui savent...

Il est un peu plus de 10h30 lorsque, enfin, je ressors de l'enfer que peuvent être les sous-sols parisiens et malgré la pluie qui continue de tomber, je dois dire que je suis charmée de la vue qui s'offre à moi lorsque je retrouve la lumière du jour.

Il faut dire que je suis au coeur de Montmartre et Montmartre, c'est beau ! Tellement beau ! Et mon émerveillement de petite fille ne fait que se confirmer lorsque je fais face à l'un de monuments parisiens que je n'avais pas vu depuis des années et des années : le Sacré Coeur.

Etant en avance, je me dis que c'est franchement trop bête de ne pas en profiter et je me paye les marches jusqu'à l'entrée de la basilique. Je rentre et profite quelques instants de la beauté des lieux. Les photos sont interdites à l'intérieur. Si je craque pour une petite photo, je ne pousse cependant pas le bouchon plus loin.

Avant de me rendre au lieu de rendez-vous, petite photo en contre-plongée pour compenser la photo que j'aurais souhaité prendre de la vue sur Paris. Photo impossible de par la grisaille environnante...

Je redescends donc la panoplie de marches (bien plus facile de descendre que de monter comme toujours) et direction la Halle Saint-Pierre à laquelle je n'avais encore jamais eu l'occasion de me rendre. Force est de constater que le bâtiment ne paie pas de mine mais l'intérieur est magistral.

A l'intérieur, un panneau annonce l'événement. C'est l'heure des retrouvailles entre les autres invités et de la découverte de la sublime pile de livres. Si Ruberto parle de magie dans son roman, la magie est pour moi en cet instant bel et bien réelle.

Au sein de l'auditorium de la Halle, Ruberto commencera pour nous parler de son nouveau roman et de son travail avant que des ados ne se lancent sur scène et nous offrent une mise en scène de quelques passages, non spoilant, du roman. Talentueuses ces jeunes filles !

  

      

  

Et puis, vient l'heure du buffet où j'ai la surprise et le plaisir de retrouver Sophie, une compagne de galère de master édition. L'occasion de blablater, de rigoler et de manger les délicieux sandwichs préparés par Ruberto (mention spécial au sandwich saucisson dans du pain au lait !)

Ce moment sera suivi d'un merveilleux moment de convivialité entre l'auteure et ses invitées. L'occasion pour nous de nous faire dédicacer nos exemplaires.

Et même si, comme vous le savez, je ne suis pas super fan d'être sur les photos (moi les photos je préfère les prendre) il y a des moments comme ça qu'il faut immortaliser. Alors bien sûr que je prends la pause !

Juste avant que je ne m'en aille reprendre mon train (toutes les bonnes choses ont une fin), nous prenons une photo souvenir du fan club que nous, les lectrices, formons en cette journée.

Virginie, Agnès, moi-même et Sophie (ça se voit que nous nageons dans le bonheur non ?)

Bref, il est désormais l'heure pour moi de repartir dans l'autre sens mais avec le sentiment d'avoir un moment unique qui restera gravé dans mon petit coeur mais également le sentiment que, désormais, Paris ne me fera plus jamais peur pour renouveler ce genre d'expériences.

Merci encore Mip de m'avoir permis de fêter le lancement de ton livre avec toi 

et à vous toutes les filles pour cette journée magistrale