Infos sur le livre
éditions : Fayard
date de publication : 29-01-2014
pages : 348
prix : 20€
Résumé éditeur
Il n'y a pas d'âge pour grandir ? C'est ce que Babou va découvrir en devenant arrière-grand-mère pour la première fois d'une petite Adella, fille de Justino, 18 ans, et de Haydée, 17, poursuivie par la fureur de son père. Puis voilà Babou frappée par un deuil douloureux. Et enfin, elle vole au secours d'un jeune garçon victime de maltraitance psychologique, l'une des plus cruelles. Que d'émotions, de larmes, mais aussi de rires avant que, le calme revenu dans la famille, elle puisse réaliser son rêve : se remettre à la peinture !
Pourquoi ce livre ?
Merci à Raphaël Ranzenigo et à la société Gilles Paris pour l'envoi de ce roman en vue de la présence de l'auteure à la Fête du livre de Saint-Etienne, auteure que j'ai pu interviewer à cette occasion.
Je tiens d'ailleurs à présenter m'excuser à leur égard car j'étais certaine d'avoir publié cette chronique depuis longtemps ce qui n'était pas le cas...
De quoi est-il question ?
Maintenant que les enfants sont grands, Babou ne rêve que de se remettre à sa passion : la peinture. Mais voilà qu'elle trouve devant sa porte une toute petite fille : Adella, fille de Justino et de Hyadée, deux jeunes gens tout juste sortis de l'adolescence. Voilà Babou arrière-grand-mère. Avec l'arrivée de cette enfant, cela en est bien fini de cette tranquillité bien méritée à laquelle elle aspirait tant car il va bien falloir s'occuper du nourrisson et essayer de préserver la relation entre Justino et Hyadée puisque le père de cette dernière ne semble pas du tout décidé à laisser partir sa fille...
Et puis, alors que la vie emplie de nouveau cette maison, Babou va devoir faire face à la pire des épreuves : la perte de sa mère avant de devoir faire front pour sauver un enfant de la maltraitance, un enfant humilié en permanence par une mère qu'il va falloir éloigner de l'enfant.
Du côté de la forme
Cela faisait un petit moment que j'avais pas lu de roman de Janine Boissard et le fait de pouvoir lire ce roman en vue d'interviewer l'auteure était une chance immense que je n'ai pas voulu laisser passer.
Au début de ce roman nous découvrons donc Babou qui, après les épreuves familiales qu'elle a déjà pu subir par le passé, aspire à un repos bien mérité se concrétisant par un retour à sa passion : la peinture. Mais c'était sans compter sur les imprévus de la vie auxquels la dame va devoir faire face : l'arrivée d'un bébé dans la famille, la mort d'une mère, la maltraitance psychologique d'un enfant qu'il va falloir aider.
Ce roman fait suite à quatre autres titres qui ont mis en scène Babou et sa famille. C'est donc bien la suite, et peut-être fin, d'une saga familiale déjà reconnue par le public que l'auteure nous offre ici avec cette nouvelle aventure d'une grand-mère devenant aujourd'hui arrière-grand-mère mais qui n'a toujours qu'une seule priorité : le bonheur de ses proches et la justice. Des priorités qui régentent sa vie en lui ôtant le loisir de s'occuper d'elle-même.
J'ai beaucoup aimé le personnage de cette femme qui, bien que devenant âgée, n'a pas fini d'enchaîner les épreuves et qui, pourtant, va faire face avec un courage incroyable et une force hors du commun à ce que va lui imposer la vie. D'ailleurs, le fait d'avoir comme héroïne principale d'un roman une arrière-grand-mère est pour le moins original en ouvrant la porte à de multiples émotions et à des événements peu habituels au sein des romans.
L'écriture de l'auteure est fluide et très agréable tout en offrant de superbes émotions au lecteur qui se reconnaîtra dans l'une des trois histoires de l'histoires. Car, si le roman compose un tout, c'est bien trois parties que nous pouvons y définir correspondant aux trois épreuves que la vie imposera à Babou, trois parties qui pourraient tout à fait se lire indépendamment les unes des autres tout comme le roman complet peut se lire indépendamment du reste de la saga.
En conclusion...
Voici un roman que j'ai beaucoup aimé de par les émotions qu'il propose et de par un personnage féminin que l'on voudrait tous avoir pour grand-mère. Avoir la chance de pouvoir parler avec l'auteur de ce fameux livre a d'ailleurs été pour moi un moment magique. Je vous engage donc vivement à aller découvrir ce roman si vous ne connaissez pas encore la plume de Janine Boissard.
Pour ma part, je lirai probablement à l'occasion de le début de la saga et, bien sûr, d'autres romans de l'auteure.
Au début de ce roman nous découvrons donc Babou qui, après les épreuves familiales qu'elle a déjà pu subir par le passé, aspire à un repos bien mérité se concrétisant par un retour à sa passion : la peinture. Mais c'était sans compter sur les imprévus de la vie auxquels la dame va devoir faire face : l'arrivée d'un bébé dans la famille, la mort d'une mère, la maltraitance psychologique d'un enfant qu'il va falloir aider.
Ce roman fait suite à quatre autres titres qui ont mis en scène Babou et sa famille. C'est donc bien la suite, et peut-être fin, d'une saga familiale déjà reconnue par le public que l'auteure nous offre ici avec cette nouvelle aventure d'une grand-mère devenant aujourd'hui arrière-grand-mère mais qui n'a toujours qu'une seule priorité : le bonheur de ses proches et la justice. Des priorités qui régentent sa vie en lui ôtant le loisir de s'occuper d'elle-même.
J'ai beaucoup aimé le personnage de cette femme qui, bien que devenant âgée, n'a pas fini d'enchaîner les épreuves et qui, pourtant, va faire face avec un courage incroyable et une force hors du commun à ce que va lui imposer la vie. D'ailleurs, le fait d'avoir comme héroïne principale d'un roman une arrière-grand-mère est pour le moins original en ouvrant la porte à de multiples émotions et à des événements peu habituels au sein des romans.
L'écriture de l'auteure est fluide et très agréable tout en offrant de superbes émotions au lecteur qui se reconnaîtra dans l'une des trois histoires de l'histoires. Car, si le roman compose un tout, c'est bien trois parties que nous pouvons y définir correspondant aux trois épreuves que la vie imposera à Babou, trois parties qui pourraient tout à fait se lire indépendamment les unes des autres tout comme le roman complet peut se lire indépendamment du reste de la saga.
En conclusion...
Voici un roman que j'ai beaucoup aimé de par les émotions qu'il propose et de par un personnage féminin que l'on voudrait tous avoir pour grand-mère. Avoir la chance de pouvoir parler avec l'auteur de ce fameux livre a d'ailleurs été pour moi un moment magique. Je vous engage donc vivement à aller découvrir ce roman si vous ne connaissez pas encore la plume de Janine Boissard.
Pour ma part, je lirai probablement à l'occasion de le début de la saga et, bien sûr, d'autres romans de l'auteure.
J'ai lu du Janine Boissard il y a longtemps. Il vaudrait que je m'y replonge.
RépondreSupprimerIl y a longtemps que je n'ai pas lu ce livres de l'auteur . J'attendais une chronique sur celui car j'étais pas sûr qu'il est un rapport avec la série Babou que j'ai adoré. Merci de cette chronique.
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