Salut mes lapinoux !
Il est l'heure pour moi de vous présenter ma deuxième journée aux Quais du polar qui se sont déroulés la semaine dernière.
Le matin, à 4h, je suis sur le pied de guerre. Pas moyen de dormir plus longtemps et je sens déjà que la journée va être longue. Je décide donc de me préparer et de partir.
Il est un peu moins de 8h30 lorsque j'arrive à Lyon (seule moyen de ne pas payer trop cher et d'arriver d'assez bonne heure au salon). Je sors de la gare et jette un regard douteux au ciel au-dessus de ma tête. La pluie menace...
Comme j'ai plus de temps qu'il ne m'en faut, j'ai profite pour faire place Bellecour une petite photo d'ambiance. Et, déjà, quelques gouttes de pluie commencent à tomber. M***euh !
Ce matin, j'ai prévu de me rendre à une conférence à l'Hôtel de ville. Je suis dans les premières pour entrer dans la salle MAIS les portes vont restées fermée jusqu'à un peu plus de 10h. Le temps d'avoir froid et d'être trempé puisque le pluie a finalement décidé d'être de la partie.
Enfin, les portes s'ouvrent et on nous dirige vers les Grand Salon pour assister à la conférence sur l'Histoire dans le polar, un sujet qui me paraissait très intéressant.
Sur la photo ci-dessous, nous pouvons voir dans l'ordre : John Lawton, Jean-François Parot, Vivianne Moore, Jacques Côté et Romain Slocombe.
Dans l'ensemble, j'ai plutôt été convaincue par la conférence qui m'a donné envie de découvrir les romans de ces auteurs.
En sortant de la conférence, j'en ai profité pour aller voir Gilles Caillot en dédicace à l'Hôtel de ville. J'ai d'ailleurs trouvé regrettable que les auteurs locaux n'aient pas la chance d'être avec les autres auteurs au Palais du Commerce.
Puis est venu le moment le plus dur de cette journée, le moment où je suis allée me placer dans la file d'attente pour rencontrer Guillaume Musso. Comme l'attente sera probablement très longue, j'en profite pour faire quelques photos du cadre, toujours aussi magnifique.
A 14h, le moment tant attendu arrive et, là, je ne vous raconte pas le merdier ! Entre ceux qui n'avaient pas compris qu'il allait falloir faire la queue, ceux qui s'agglutinaient "juste pour une photo" et ceux qui stressaient parce que l'homme était là...
Je dois avouer être déçue par cette rencontre. Si je comprends qu'il y avait foule et que l'auteur ne pouvait pas parler avec tout le monde, je regrette qu'il ne se soit pas montré plus accueillant que ça avec ses lecteurs. Dommage...
Une fois cette rencontre passée, il est l'heure pour moi de retourner à l'Hôtel de ville pour assister à une conférence que j'attendais avec impatience, une conférence sur la nouvelle criminalité.
Sur la photo ci-dessous, nous pouvons voir dans l'ordre : Paul Colize, Barbara Abel, Colin Niel et Marc Elsberg.
Je dois dire que j'ai tout simplement adoré cette conférence qui m'a, de plus, donné très envie de découvrir les romans de Colin Niel (qui a d'ailleurs gagné le prix des Quais du Polar cette année)
La journée est déjà presque finie et la fatigue commence à se faire sentir. Comme il n'y a personne vers les auteurs que je souhaite rencontrer maintenant, je ne laisse pas passer ma chance. Je pourrai donc discuter quelques minutes avec Julie Ewa, auteure d'une de mes dernières grosses claques.
Et à deux pas, se trouve Sophie Hannah. Si cette auteure a quelques chose de particulier pour moi c'est parce qu'elle est l'une des premières auteurs dont j'ai découvert les romans en anglais.
Il est déjà 18h et, comme je ne tiens plus debout, je décide de me rendre à une conférence que j'avais vaguement repérée : une conférence sur l'humour dans le polar.
Sur la photo ci-dessous, nous pouvons voir dans l'ordre : Sophie Hénaff, [...], Alpert Caniguz et JJ Connolly
J'avoue avoir parfois un peu piqué du nez pendant la conférence qui, malheureusement, ne m'a pas convaincue plus que ça. Si je n'ai pas douté de l'humour dans certains des romans de ces auteurs, j'ai trouvé que le rapport était parfois un peu tiré par les cheveux.
Il est désormais 19h30 et le salon ne va pas tarder à fermer ses portes. Il est donc temps pour moi de reprendre ma route vers la gare (ce serait bête de rester coincée à Lyon). Je sais que le lendemain est le dernier jour mais je sais aussi que j'ai besoin d'une bonne nuit de repos pour être en forme pour le dernier jour...
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